Allana && David

Je commençais à m’habituer tranquillement à Beverly Hills. Ce n’était pas du tout pareil à la petite ville où j’habitais en Russie. Ici il y avait que des grosses maisons des grosses bâtisses et du monde riche. Je n’ai pas encore vue une personne qui ne s’habillait pas en marque sauf moi. J’avais bien hâte de commencer l’école et apprendre de nouvelle chose. J’avais beau être mannequin je n’étais pas beaucoup connu donc, je ne gagnais pas beaucoup d’argent. Je voulais être come tous c’est personnes m’habiller avec des vêtements de grands créateurs et surtout avoir des enfants. C’était ma grand priorité je voulais avoir une grande famille entouré de joie et d’amour. Je ne veux perdre David pour rien au monde il est essentiel dans ma vie depuis la première seconde que je l’ai vue j’ai su que je voulais faire ma vie avec lui. J’allais tout faire pour arriver à mes fins. Il croyait toujours que j’étais enceinte de notre enfant et je ne comptais pas lui dire que j’avais perdu notre bébé. J’allais trouver un solution pour le garder dans ma vie et avoir des enfants. Bref, ce matin je m’étais levé et en bonne comédienne que je suis j’ai été dans la salle de bain et ai verrouillé la porter et j’ai fait semblant de vomir parce que oui ca fessait quelques semaines que je porterais le bébé s’il ne serait pas morte donc, il fallait bien que je reste dans la mentalité de la femme enceinte. Après cette petite mise en scène je demandais à David si nous pouvions aller prendre l’air dehors. Il accepta et nous allions comme un couple tout à fait normal marcher dans le parc proche d’où nous habitions. J’étais si heureuse d’être en sa compagnie j’étais fière de marcher à ses côtés. C’était lui qui m’avait enlevé de la vie que j’avais en Russie j’haïssais cette vie j’étais beaucoup plus heureuse ici à Beverly Hills. Nous marchions main dans la main je serais sa main comme si ma vie en dépendais je ne voulais pas qu’il me quitte. J’avais toujours cette peu au fond de moi je savais que s’il apprenait que je lui avait caché la mort du bébé il allait me laisser. Il ne m’aimait pas il aimait le bébé il m’avait marié que pour son bien il avait beau le nier je le savais. Je profitais pleinement des moments que je passais avec lui parce que je savais que c’était peut-être le dernier. J’aperçu un banc un peu plus loin en silence je me dirigeais vers ce banc et m’assis en regardant les personnes marcher. Un couple de vielle personne passais devant moi je m’imaginais plus vieille en compagnie de mon mari et de nos enfants et petit enfant. Je savais bien que ca n’allais jamais arriver mais, j’aimais rêver.